Dans les coins sombres des boites libertines de Varsovie, ça suce des bites, ça taille des pipes. Magali, ravissante blonde platine, aux faux airs de Brigitte Lahaie, 34 ans, adore l’inconnu et le sexe insolite. Et la charmante polonaise, installée en France depuis 10 ans, a adopté la vie libertine de Toulouse. Mais après avoir fréquenté les établissements échangistes comme Le Privé ou le Club 72, notre slave a porté ses préférences sur les sex shops glauques. Sa passion : la soirée Gloryhole au cours de laquelle la salope polonaise peut enchainer un 18 trous comme un parcours de golf. Le sex shop s’avère le coin anonyme où madame peut s’adonner à tailler des pipes à la chaine sous le contrôle de son mari. Mais elle est aussi partante pour un porta gloryhole, bien organisé.
Avec sa bouche à pipe, notre chaudasse docile et offerte aux fellations les plus juteuses, s’exécute, à genoux dans l’humidité de ces backrooms.
Le gloryhole uniquement pour se faire éjaculer dessus
Eva a exprimé à son mari libertin et candauliste le désir de se donner en spectacle dans des endroits sombres, crasseux et glauqes. Pour se sentir déshumanisée, chienne et salope, à la merci de toutes les bites. L’objectif premier de ses soirées pour la chienne exhib de Toulouse : se faire éjaculer dessus. Prendre le max de sperme après avoir branlé, sucer à la chaine. Et à chaque soirée sexe libertin, notre polonaise nue avec ses bottes en cuir, prend le soin d’être coquette et élégante. Comme si les mecs qui avaient passé leur bite en érection à travers les trous voyaient la tête d’Eva. Ils savent simplement qu’il y a une pute à souiller de l’autre côté du mur.
Et notre libertine se dépêche de branler en handjob amateur avec vigueur. Un coup de langue, un astique de gland, une bonne pipe et re-branlette pour que ces messieurs jutent et éjaculent rapidement. Son record de partenaires est de 14 dans un sex shop de Toulouse, à l’abri des regards.
